Il existe des coutumes ethniques africaines qui sortent de l’ordinaire. On parle ici d’ethnie et non de traditions liées à un pays.
En Afrique du sud, pendant le nouvel Nouvel An, on s’adonne à la « flying-brocante ». Dans le quartier de Hillbrow, lesgens célèbrent la fin d’année en lançant par la fenêtre les vieux appareils ménagers.Une nouvelle manière d’accueillir la nouvelle année.
Au Kenya, plus exactement dans la tribu Masaï, on crache sur les nouveau-nés. Clairement, quand un enfant Masaï vient au monde, aucun adulte n’a le droit de le toucher. Les membres de la tribu l’accueillent en lui salivant dessus.
Lors d’un mariage au Soudan, la famille brûle d’abord sept balais. Par la suite, on casse des œufs sur les pieds des nouveaux mariés qui sont debout devant chez eux. La femme lavera, ensuite, les pieds de son mari avant de sauter par-dessus un bloc de bois.
Toujours dans la tribu Masaï, les femmes confectionnent des bijoux. L’art de confection se transmet de mère en fille depuis des générations. Les bijoux serviront aux filles afin de déclarer leurs amours aux guerriers par la suite autour d’un verre de lait.
En Éthiopie, la beauté de la femme se voit différemment. En effet, les femmes de la tribu percent leurs lèvres et leurs oreilles pour ensuite y mettre des plateaux en terre cuite. A l’image des boucles d’oreilles.
En Nouvelle-Guinée, plus exactement dans la tribu des Papous Baruyas, aucun père n’a le droit de voir son enfant nouveau-né avant que sa première dent n’apparaisse. Si tel est le cas, il se devra de cracher par terre. La raison est que le peuple pense que les enfants sont souillés par les femmes et la naissance.